Les vers 11-21 de la Théogonie d’Hésiode soulèvent de nombreux problèmes d’interprétation. Le catalogue qu’ils proposent prend cependant un sens très cohérent si on le rapproche des deux autres catalogues du prélude de ce poème. Loin d’annoncer un contenu et de servir de sommaire, il énonce l’ordre établi par Zeus, dont le poète se propose ensuite de chanter la toute-puissance en racontant la geste qui l’a conduit à régner sur le monde.Hesiod’s Theogony . From Catalogue to Genealogy. Verses 11-21 in (...) Hesiod’s Theogony are very problematic. However their meaning appears clear if connected with the two other catalogues contained in the prelude to this poem. They are not a summary, but rather the glorification of the cosmic order established by Zeus, whose power the poet sings afterwards, telling how this god definitively conquered the kingdom to rule the world. (shrink)

Having read the works of Wang Ch'ung [A.D. 27-c. 100], I realized that they need to be recapitulated. Here I shall evaluate Wang Ch'ung and his thought and present what I feel to be the real significance that Wang Ch'ung's thought still has today.

M. Dupréel est, avant tout, un moraliste et un sociologue, et sa théorie de la connaissance est, nettement, d'inspiration sociologique. En insérant les problèmes de la connaissance dans la trame de la vie sociale, en raisonnant sur une pensée complète, et non sur une pensée appauvrie et schématisée, M. Dupréel arrive à des conclusions qui sont souvent très proches de celles que le lecteur est habituéà lire dans Dialectica.Je fais précéder les extraits choisis d'indications bibliographiques qui concernent uniquement les travaux (...) dont ces fragments ont été tirés; il ne faudrait donc pas u voir la liste complète des œuvres de M. Dupréel. (shrink)

La recherche d’une condition nécessaire et suffisante pour éviter les antinomies de la théorie des ensembles nous amène à formuler deux règles qui défendent l’introduction, dans le système, de certaines définitions non-prédicatives. L’observation de ces règles limite l’application de l’opération cantorienne, de sorte qu’on en arrive à distinguer, parmi les ensembles infinis, ceux dont la puissance fait partie de la série des alephs, et ceux dont la puissance dépasse n’importe lequel des termes de cette série.

Cahier 1 : M. Vetö, Le passé selon Bergson ; F. Guibal, « E. Weil et nous ». Une philosophie à l’épreuve de la réalité ; O. Balaban, Intellectualisme et causalité chez Hegel, et les limites de la science moderne ; C. Poirel, Le matérialisme neuronal et la question de la transcendance ; B. D. Hercenberg, Le mythe de Déméter et la tension entre la séparation..

Fondée en 1950 par Eugénie Droz, la collection des Travaux d'Humanisme et Renaissance a réuni, en soixante-cinq ans, plus de 550 titres. Elle s'est imposée comme la collection la plus importante au monde de sources et d'études sur l'Humanisme (Politien, Ficin, Erasme, Budé...), la Réforme francophone (Lefèvre d'Etaples, Calvin, Farel, Bèze...), la Renaissance (littéraire et artistique, Jérôme Bosch ou Rabelais, Ronsard ou le Primatice...), mais aussi la médecine, les sciences, la philosophie, l'histoire du livre et toutes les formes de savoir (...) et d'activité humaine d'un long XVIe siècle, des environs de 1450 jusqu'à la mort du roi Henri IV, seuil de l'âge classique. Les Travaux d'Humanisme et Renaissance sont le navire-amiral des éditions Droz. (shrink)

One Seit Platon (mit dem Spott von Diogenes) über Kant ist die Fundamentalfrage "Was ist der Mensch?" bis heute nicht nur von der Philosophie (als regina scientiarum), sondern von der Wissenschaft überhaupt nicht beantwortet. Phänomenologisch hat der Mensch a posteriori physische (somatische), psychische(perceptio, emotio, cognitio), mentale (logische), spirituelle (conscientia, volitio, actio) "Sphären". Ontologisch in Kontext von to ti en einai (Aristoteles) sollte der Mensch a priori ein "Programm" (Information) vor der Kosmogonie haben. Der (Neo‐) Positivismus (z.B. Hume bis Carnap, Russel*; (...) * Nobel Laureate) verwirft Fragen der Metaphysik als Scheinprobleme. Damit bleibt das Menschen‐Wesen in Kontext von Postulaten, wie res cogitans (Descartes), Monaden(Leibniz), "Gott, Freiheit, Unsterblichkeit", Seligkeit und (moralischer) Vollkommenheit (Kant), absoluter Geist (Hegel) in der theologischen Dimension. Antwort könnte eine zukünftige (holistisch‐multidimensionale) philosophische theoretische und Experimentaltheologie (kontrollierbare Beobachtung) durch weitere Forschung geben, in Kontext (bzw. Existenz) von A. Physikotheologie bzw. (a) höhere (als drei) geometrische/physikalische Dimensionen (Hilbert, Riemann /Friedmann, Minkowski, Schmutzer), (b) Paralleluniversen (z.B. L. Randall), (c) Quantentheorie/‐philosophie (Planck*, u.a.), (d) Gravitations‐/Relativitätstheorie (Newton/Einstein*), (e) Vakuumenergie (Sato), etc. B. ChemoBiotheologie bzw. "psychischen" (Fechner) und "spezifischen" (Joh. Müller) Energien,"biologischem Feld" (Gurwitsch), künstlicher Biogenese (Oparin, Fox, Urey*, u.a.; 32 Fragen von John Bernal). C. Psychotheologie bzw. parapsychische Phänomene (Carrel*, Richet*/France, Rhinne/USA, Vassilev, Bechterew/Russia, etc.). D. Religionstheologie: (über‐) Bewußtsein, übersinnliche, immaterielle, supraphysikalische Phänomene (Sri Aurobindo, Dalai Lama*, Konfuzius/Laotse, Gopi Krishna, Papst Benedikt, Paramahansa Yogananda, Sri Yogendra, etc.)und ihre physiologische Begründung (Anand/Chinna, Kasamatsu/Hirai, Ornstein, Pauli*, von Weizsäcker, etc.). Damit hängt die ontologische Frage nach dem MenschenWesen mit der Lösung des Problemkomplexes "Gott Geist/Seele Mensch Natur" zusammen. (shrink)

Name der Zeitschrift: Byzantinische Zeitschrift Jahrgang: 107 Heft: 1 Seiten: 221-252.

Mellor's subject is singular causation between facts, expressed 'E because C'. His central requirement for causation is that the chance that E if C be greater than the chance that E if $\sim \text{C}\colon \ ch_{\text{C}}>ch_{\sim \text{C}}$. The book is as much about chance as it is about causation. I show that his way of distinguishing ch C from the traditional notion of conditional chance leaves him with a problem about the existence of ch Q when Q is false ; (...) and also that any notion of chance which conforms to the standard calculus has wider application than the causal instances to which Mellor's notion is restricted. Other topics discussed may be gleaned from the headings below. (shrink)